Les bookmakers eSports les plus populaires de Japon

De plus, une école d'esports pour les lycéens (connue sous le nom d'eSports High School) a été créée. eSports High School se présente essentiellement comme une école de métiers pour l'industrie dynamique et en pleine expansion des médias de jeux. Le joueur professionnel compétitif n'est qu'une des nombreuses options sur sa liste de carrières possibles pour les diplômés, y compris streamer, développeur de jeux, YouTuber virtuel, journaliste de jeux, programmeur, expert en esports et concepteur 3D CG.

Appel du devoir: Modern Warfare est l'un des esports les plus populaires au Japon. C'est un jeu de combat dans lequel les joueurs s'affrontent en équipes de troupes. Ce jeu est l'un de leurs favoris de tous les temps pour de nombreux joueurs japonais en raison de son gameplay rapide et de sa profondeur.

En 2021, le championnat du monde Call of Duty: Mobile s'est tenu au Japon, avec une cagnotte de 50 000 $. Call of Duty est, sans surprise, l'un des meilleurs jeux d'esport mobiles. Treyarch et quelques autres équipes collaborent sur Call of Duty, qui sort un nouveau jeu chaque année.

Parmi les autres esports les plus populaires au Japon figurent actuellement :

• League of Legends - Un jeu MOBA (Multiplayer Online Battle Arena) qui incite dix joueurs répartis en deux équipes à défendre leur territoire.
• CS : ALLEZ - C'est l'abréviation de Counter-Strike : Global Offensive. C'est un jeu FPS (First-Person Shooter) multijoueur.
• Surveillance - Un jeu FPS dynamique impliquant un environnement terrestre proche du futur.

Tous ces jeux sont compétitifs. Ils favorisent un sentiment de communauté que les gens apprécient et souhaitent propager.

Et en termes de compétition, il semble douteux qu'une équipe japonaise menace la domination des équipes de Chine, d'Amérique du Nord, de Corée du Sud et d'Europe dans League of Legends ou Overwatch. Cependant, étant donné l'état du secteur chinois de l'esport, cela pourrait ne plus être le cas à l'avenir, et nous pourrions voir de puissants concurrents émerger du pays dans une variété d'esports.

L'histoire des paris sportifs au Japon est liée à l'histoire du pays avec les jeux d'argent. L'empereur Tenmu, selon un document historique du VIIIe siècle, aimait jouer à un jeu de dés similaire au backgammon. Ce jeu était connu sous le nom de ban-sugoroku, qui se traduit par "double six", et il était interdit sous le règne de l'impératrice Jito.

Bakuto (joueurs professionnels) s'est développé à partir de ce qui est aujourd'hui le Kyoto moderne à cette époque de jeu excessif. Avec l'augmentation de ces joueurs professionnels, il y a eu une augmentation de la violence associée au jeu.

Le gouvernement japonais a publié neuf édits contre le jeu au 13ème siècle. Les samouraïs n'étaient pas autorisés à jouer pendant la période Edo. D'un autre côté, les samouraïs de rang supérieur étaient autorisés à boire, à jouer et à s'associer avec des prostituées.

Au fil du temps, d'autres formes de jeu ont été introduites. Notamment, les jeux de cartes, de machines à sous et de dés comme le mahjong et le pachinko sont entrés en scène. Les gens ont également commencé à jouer au takarakuji (loterie) comme forme de divertissement. En raison de la popularité croissante des jeux d'argent, les secteurs illégaux ont également sauté le pas. Et malheureusement, ils ont profité de l'occasion pour exploiter l'industrie du jeu en créant des organisations criminelles qui se concentrent sur les opérations de jeu illégales.

À l'avenir, le destin de l'esport et des paris sur l'esport au Japon est sur le point de s'améliorer. Parmi beaucoup de choses, cela est lié au fait que le Japon est un pays qui embrasse le changement. Les Japonais, qui ont tendance à apprendre toute leur vie, méritent également d'être crédités pour cette vision optimiste de l'esport et de l'avenir de l'industrie des paris.

En 2022 et au-delà, une clarification du statut juridique des paris sportifs dans le pays contribuerait sans aucun doute au développement de l'industrie. Reste à savoir si le gouvernement japonais, qui a jusqu'ici hésité à légaliser de nombreux types de paris, saura expliquer la situation.

Compte tenu de la popularité d'esports comme Call of Duty: Modern Warfare, League of Legends, CS: GO et Overwatch en particulier, ainsi que des caractéristiques uniques du marché japonais en termes de titres d'esports les plus populaires, une certaine clarté sur les paris esports serait tout à fait bénéfique.

Les lois fiscales sur les paris sportifs et les jeux de hasard sont un peu compliquées. Les gains des courses de chevaux sont imposables, mais seulement si vous gagnez plus de 500 000 $ par année. Vous ne pouvez pas non plus déduire le coût des paris perdus de vos gains. Vous devez payer des impôts sur vos revenus même si vous perdez 600 000 $ en paris en un an.

Notez que si seuls les paris esports restreints sont autorisés au Japon, le code des impôts ne gère pas les paris sur d'autres sports. Étant donné que le gouvernement japonais ne réglemente pas les paris sportifs qui opèrent dans le pays, il est peu probable que des taxes soient retenues. Il est essentiel de parler avec un comptable de votre situation fiscale.

Plus tôt, il a été mentionné que trois lois législatives japonaises ont refaçonné le marché de l'esport. Voici ces lois :

1. Fueiho

En vertu de cette loi, les « centres de jeux » (c'est-à-dire les salles de jeux) sont soumis à des lois particulières en vertu du Fueiho (décrit comme une entreprise où les propriétaires équipent la salle d'arcade de machines à sous, de machines de jeux télévisés ou d'autres installations de divertissement dans un espace cloisonné et permettre aux invités de jouer au jeu).

Supposons qu'une entreprise soit soumise au Fueiho. Dans ce cas, il doit obtenir l'autorisation d'opérer de la Commission préfectorale de sécurité publique et respecter plusieurs restrictions, notamment la limitation des heures d'ouverture, la restriction de l'accès aux mineurs et l'interdiction de verser des prix aux joueurs s'ils organisent des compétitions.

2. La Loi sur les primes

La loi sur les primes interdit aux entreprises de facturer des primes exorbitantes en échange de leurs services. Au Japon, la principale question avec l'esport était de savoir si le prix en argent payé par l'éditeur du jeu pour la compétition était considéré comme des primes pour l'éditeur.

Si le prix en argent d'une compétition d'esports est soumis à la loi sur les primes, le montant du prix en argent ne peut pas dépasser le plus bas de I 20 fois la valeur de la transaction ; ou (ii) 100 000 yens japonais (environ 900 $).

3. Le code pénal

Le jeu est sévèrement réglementé au Japon, et toute personne qui joue ou gère un établissement de jeu fait face à des accusations criminelles. Les paris sont définis comme suit dans le Code pénal japonais :
"Parier une propriété sur une compétition dont l'issue est déterminée par le hasard."

Cela s'applique non seulement aux paris sportifs, mais également aux compétitions sportives. Lorsque les joueurs d'une compétition d'esports paient des frais d'inscription à l'organisateur de la compétition et que le prix en argent comprend les frais d'inscription (ce qui est presque toujours le cas), le paiement des frais d'inscription peut être interprété comme un pari. Parce que vous "pariez une propriété sur un concours dont le résultat dépend du hasard" en payant les frais, vous "pariez une propriété sur un concours dont le résultat dépend du hasard"